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Inconnu Evilenko constitue un monument de réalisme de par son image suggérant la métamorphose d'une société issue du stalinisme et de la pauvreté due à la soumission qu'elle exerça sur la nature humaine et la tendance sociopathe communiquée engendrée ensuite par la rupture brutale du changement. Ce n'est pas un un film à prendre au premier degré, d'autres bouleversements se sont inscrits dans l'histoire de l'humanité qui sont en général les intégrismes de toutes sortes (pseudo-idéalismes, religions, politique de tout bord, ésotérismes, etc...). Il n'en reste pas moins que l'ambiance de ce film est remarquable par la sobriété et le rythme des images, de la mélodie en bémol et le jeu de Malcom McDowell. Vive ce cinéma qui nous subjugue ou, en tout cas, ne peut laisser indifférent ; il éveille de toute façon le sens critique qui appartient à chacun d'entre nous.
Commentaire : Mon 06-12-10
Aria Que dire sinon qu'on est incroyablement surpris et horrifié par ce film, au départ, je pensé avoir pris un simple film sur un violeur comme on vois souvent dans certain discount, après quelque recherche, j'ai trouvé que cela parlé de Chikatilo ! Je n'ai pas trop compris l'espèce d'hypnose entre le tueur et la victime, dégouttée par contre vers la fin, lorsque le policier découvre que Evilenko a tué plus du double de victimes lorsque il lui demande combien, dégouttée aussi lorsque l'on voit les agents gouvernementaux prendre les preuves aux jeunes inspecteur. Excellent malgré quelques longueurs au début du film. Les débuts de la psychanalyse criminelle personnifiée par ce psychanalyste juif sont superbe, mais un peu grand guignol quand il essaye de confronté et de ramener le tueur a la raison !
Commentaire : Mon 06-12-10