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flint Super héros Toxic
Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Mar Oct 13, 2009 5:24 pm Sujet du message: [M] [Critique] Ratman |
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Ratman
Titre original : Quella villa in fondo al parco
Genre : horreur
Année : 1988
Pays d’origine : Italie
Réalisateur : Giuliano Carnimeo (sous le pseudo Anthony Ascot)
Casting : David Warbeck, Janet Agren, Eva Grimaldi, Werner Pochath, Nelson De La Rosa, Luisa Menon…
Aka : Terror House/ The Rat Man
Arrivés par le même avion à l’aéroport d’une île des Caraïbes, l’écrivain spécialisé dans le polar Fred Williams (David Warbeck) et la fille d’un sénateur, Terry (Janet Agren), se retrouvent également par coïncidence dans le même taxi. Si Williams est venu sur l’île en simple villégiature (et éventuellement trouver un sujet pour son prochain roman), Terry doit se rendre à la morgue afin de procéder à l’identification de sa sœur Marlis (Maryline dans la VF, interprétée par Eva Grimaldi). Une fois sur place, le cadavre s’avère ne pas être celui de Marlis, mais de Peggy, une amie de celle-ci.
En fait, la Peggy en question, mannequin de profession tout comme Marliss, a eu la mauvaise idée de vouloir se rendre à une soirée en taxi. Pas de bol, le chauffeur est victime d’une crevaison, et n’a pas de roue de secours (le con). Il indique à sa cliente un itinéraire sûr où elle pourra trouver une cabine téléphonique. Le chemin est en réalité un coupe-gorge (mais il est très con ce chauffeur !) ; et bientôt voilà Marliss suivie par un type patibulaire (mais presque). Paniquée, elle se réfugie dans une maison abandonnée. L’homme la suit, sort un couteau, est sur le point de lui faire sa fête, et là… une étrange créature se jette, non sur l’agresseur, mais sur la victime (pas de chance), la taillant en pièces à coups de griffes et de dents.
Rapport de la police : la jeune femme a été tuée par un maniaque, qui a ensuite abandonné la morte aux rats (hum). D’où cette question : l’inspecteur de police serait-il le frère du chauffeur de taxi ?
Williams, qui n’est pas une poire, n’en croit pas un mot. Il décide d’accompagner Terry dans la jungle, où Marliss est partie pour faire une séance photos avec Mark et son assistante Monique. Mais dans la jungle, terrible jungle, rode un monstre hybride mangeur de chair humaine…
Giuliano Carnimeo a commencé sa carrière de metteur en scène en tant que co-réalisateur. Il s’agissait de comédies mettant en vedette Michèle Morgan et Vittorio De Sica (« Vacanze d’inverno »), ou encore Maurice Chevalier et Jayne Mansfield (« Panic Button »). Mais dès qu’il se retrouve à opérer en solo, il bifurque immédiatement vers le western spaghetti, à la fin des années 60. On lui doit bon nombre d’œuvres mettant en lice Sartana. Il signera la plupart de ces films de son pseudonyme Anthony Ascott (avec deux « t », contrairement à « Ratman »). Aux abords des années 70, il fait jouer Edwige Fenech en de nombreuses occasions, des sexy-comédies, mais aussi « Les rendez-vous de Satan », un très bon giallo, comme son titre ne l’indique pas. Les années 80 marquent le déclin, avec un post-apo assez quelconque : « Les exterminateurs de l’an 3000 ».
Réalisé en 1988, « Ratman » est son dernier film. Pour cette unique incursion dans le genre horrifique, le cinéaste réunit quelques acteurs familiers du cinéma de genre. David Warbeck, en premier lieu, qui après « Les sévices de Dracula » (1971) entamera une belle carrière. Des titres ? Il y en a à la pelle : « Il était une fois la révolution », « Serpent noir », « L’au-delà »… Et puis Janet Agren, qui aurait pu croiser Warbeck dans un Fulci, mais ce sera « Frayeurs ». Néanmoins, le duo était déjà réuni en 1976 sur le tournage de « Bakterion », de Tonino Ricci. La belle suédoise fut aussi l’héroïne de « Ingrid sulla strada », de Brunello Rondi (« Macadam Jungle » chez nous) et de pas mal de comédies légères ; et puis n’oublions pas « La secte des cannibales », où elle cherchait là aussi sa sœur disparue dans la jungle. Il s’agissait alors de la ravissante Paola Senatore. Dans « Ratman », c’est la non moins superbe Eva Grimaldi qui incarne la frangine.
Cette italienne aux courbes affolantes a obtenu son premier grand rôle dans un nunsploitation de Joe D’Amato : « On l’appelle Sœur Désir » (rebaptisé « Le couvent des pêcheresses »). Par la suite, on la verra surtout dans des productions pour la télévision, entrecoupés de seconds rôles au cinéma, comme dans « Kinski Paganini ». Si Werner Pochath (« L’iguane à la langue de feu », « Mosquito der Schänder », « Chasseurs d’hommes ») complète idéalement le casting, il ne faudrait pas oublier la véritable vedette du film : Ratman, c’est-à-dire Nelson De La Rosa. Qui pouvait incarner une créature hybride issue d’une expérience génétique d’un savant un peu timbré, qui a eu cette idée folle, un jour d’inventer… Une chose créée à partir de sperme de rat et d’ovules de guenon ! A priori personne, vu que l’acteur en question devait mesurer environ deux fois la longueur du sexe en érection de John Holmes. Et pourtant, ce fut possible, grâce à Nelson De La Rosa, haut de 71 cm, et qui faisait ici ses débuts à l’écran. On le verra finalement très peu au cinéma, deux autres fois, dont « L’île du Docteur Moreau » version Frankenheimer. Nelson De La Rosa mourut hélas à 38 ans d’un infarctus.
Son rôle de Ratman est impressionnant, car on n’a pas affaire à un trucage, ou à un animal déguisé, mais bien à un être humain grimé particulièrement inquiétant et dangereux, malgré sa modeste taille. En plus, il est très rusé, intelligent (il ne manque pas de reluquer Eva Grimaldi sous la douche avant de s’en prendre à elle, là où un banal serial killer ne se serait pas posé la question).
Pour autant, ne crions pas au chef d’œuvre. Le film de Carnimeo est sympa, on ne s’y ennuie pas, mais ce n’est pas non plus une œuvre foncièrement originale. C’est une honnête série B, avec quelques passages marquants (la traque du Ratman dans la maison où s’est réfugiée Marliss), des scènes un peu gore, et le passage érotique obligatoire (Eva Grimaldi sous la douche, donc, que l’on peut admirer sous toutes les coutures). Et puis, la fin est assez amusante, il faut bien l’avouer. Giuliano Carnimeo, malin comme un rat, a choisi un titre plutôt racoleur (« Quella villa in fondo al parco ») rappelant fortement « La casa sperduta nel parco » de Ruggero Deodato (qui lui s’était inspiré de « The Last House on the Left »). Des clins d’œil que l’on retrouve même à travers certaines affiches d’exploitation, l’une d’entre elles étant carrément un hommage à « Jaws », à moins qu’il ne s’agisse d’une parodie !
Note : 7/10
Accroche : un rat pas bougri
Dernière édition par flint le Lun Jan 04, 2010 4:40 pm; édité 2 fois |
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Valor Psycho-cop
Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Dim Nov 01, 2009 9:42 pm Sujet du message: |
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Oui, moi je la trouve très drôle cette illustration ! Mais que fait Universal ?
Elle a été conçue spécialement pour Shameless, contrairement à celle du verso qui est une des affiches originales mais certains n'ont pas du tout apprécié cette présentation trop 'nanardesque' du film ... (Voir aussi l'accroche 'He's the critter from the shitter' = 'La créature des chiottes' !)
On a aussi reproché à Shameless l'absence de bonus et la qualité médiocre du transfert . Mais comme l'explique le boss de Shameless sur le forum de leur site, ils ont eu beaucoup de mal a trouver des éléments en bon état et ont édité une version composite à partir de diverses sources, tant pour la vidéo que pour l'audio. Il admet ainsi que leur DVD a "tout au plus la qualité d'une bonne VHS" :
http://www.cult-labs.com/forums/showthread.php?t=177
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Kidam 40 % irradié
Inscrit le: 30 Nov 2007 Messages: 415
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Posté le: Lun Déc 07, 2009 5:15 pm Sujet du message: |
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Rien que pour sa distribution, c'est un film à voir.
Après, c'est vrai qu'il demeure inégal. certains moments sont très bons comme la poursuite dans la maison. D'autres plus mollassons. Je l'avais vu par erreur à un moment où je cherchais à voir la maison au fond du ruggeroparc. (mais je ne pense pas y avoir trop perdu au change). |
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Bastien 40 % irradié
Inscrit le: 19 Mar 2008 Messages: 364
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Posté le: Sam Déc 19, 2009 3:18 pm Sujet du message: Nul |
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Un des deux ou trois pires films jamais fait à mon sens.
Une idiotie du point de vue du scénario et une bonne partie de l'attaque du ratman n'est que longueur et longueur.
A mon sens, Ratman symbolise la fin du cinéma bis italien totalement à bout de forme et de moyens. _________________ http://leroyaumedesavis.over-blog.com/ |
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mallox Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Juin 19, 2011 8:51 am Sujet du message: |
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Je ne sais pas comment est la version originale, mais la version française ronge les neurones. On se croirait dans un Soap brésilien, le pire restant les séances photos avec Werner Pochath ("Fais comme si tu donnais ton corps aux vagues !").
Pour le reste, on ne peut pas dire que c'est ennuyeux. Même si sans Nelson De La Rosa le film ne vaudrait pas tripette et même que dalle. (Restent quoi ? 2 séquences de trouille dans la semi-obscurité, pas plus !)
M'enfin, si ça se regarde, on est loin des "Rendez-vous de sa tante" ou du "Moment de tuer", et Warbeck fait un peu de peine avec un rôle très en retrait, notamment par rapport à sa présence au générique qui laissait envisager plus ou mieux.
Pas terrible terrible, mais pas non plus le truc le plus honteux produit à la fin des années 80, loin s'en faut. Enfin à mon sens... _________________
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flint Super héros Toxic
Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Dim Juin 19, 2011 3:29 pm Sujet du message: |
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mallox a écrit: | Je ne sais pas comment est la version originale, mais la version française ronge les neurones. On se croirait dans un Soap brésilien, le pire restant les séances photos avec Werner Pochath ("Fais comme si tu donnais ton corps aux vagues !").
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En italien, je ne sais pas ce que ça donne. En anglais, c'est plus "sobre", avec essentiellement des "bien", "encore une"... de la part de Werner Pochath dont la voix est moins tarte que dans la VF.
Pour le reste, le constat est valable pour la majeure partie des réalisateurs italiens dans le cinéma de genre. Après une décade prodigieuse (les années 70), la décennie suivante a confirmé un déclin quasi général.
(n'empêche qu'Eva Grimaldi...) |
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mallox Super héros Toxic
Inscrit le: 10 Sep 2006 Messages: 13982 Localisation: Vendée franco-française
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Posté le: Dim Juin 19, 2011 3:30 pm Sujet du message: |
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flint a écrit: | (n'empêche qu'Eva Grimaldi...) |
C'est qui ? _________________
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flint Super héros Toxic
Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Dim Juin 19, 2011 3:38 pm Sujet du message: |
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mallox a écrit: | flint a écrit: | (n'empêche qu'Eva Grimaldi...) |
C'est qui ? |
Une cousine éloignée d'Arline Judge. |
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The Omega Man 99 % irradié
Inscrit le: 25 Juil 2006 Messages: 1155 Localisation: Belgique
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Posté le: Dim Juin 19, 2011 5:58 pm Sujet du message: |
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Je profite de cette critique pour rendre hommage à l'actrice la plus méconnue et sous estimée du cinéma d'exploitation italien.
Janet Agren alias Janet Ågren Maietto (6 April 1949) est née à Landskrona, Skåne län en Suède, elle débute en 1968 (I due crociati), et joue dans bon nombre de comédie et de film érotique, elle tourne son dernier film en 1991 (Per sempre).
Elle est magnifique peinte en or dans l'insignifiant "La Secte des Cannibales", lumineuse à côté du bovin Daniel Greene dans l'explosif "Atomic Cyborg" et sensuel dans le méconnu "Mystère" ou sa petite culotte en a traumatisé au moins un.
Filmographie sélective:
La nuit des requins / Shark [1988]; Ratman [1988];Atomic Cyborg [1986];L'autre enfer [1986]; Red Sonja : Kalidor [1985]; Mystére [1983]; La secte des cannibales [1981]; Frayeurs [1980]; Bermudes: triangle de l'enfer [1979]; Panic / Panique [1977]; L'assassino ha riservato nove poltrone [1974]; Ingrid sulla starda [1974]
C'est beau, c'est chaud, ça sent le sable chaud
(et la crevette) |
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flint Super héros Toxic
Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Dim Juin 19, 2011 6:43 pm Sujet du message: |
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J'approuve !
Allez, une petite couv' de Ciné Revue (juin 1972) :
Accompagnée d'un magnifique texte d'ambiance :
On appréciera entre autres le redoutable jeu de mots final.
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Valor Psycho-cop
Inscrit le: 22 Fév 2007 Messages: 4497 Localisation: Vanves
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Posté le: Dim Juin 19, 2011 7:21 pm Sujet du message: |
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Je surenchéris :
:happy: |
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sigtuna Super héros Toxic
Inscrit le: 08 Jan 2010 Messages: 3818
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Posté le: Lun Juin 20, 2011 6:29 am Sujet du message: |
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Pas de photos de De la Rosa en teeshirt mouillé?
flint a écrit: | Après une décade prodigieuse |
Attention aux anglicisme: décade en français c'est 10 jours (comme dans le ratage de Chabrol).
Je viens de corriger une phrase de flint, lui qui doit s'arracher les cheveux sur mes critiques de films tellement elles sont bourrés de fautes , le monde ne tourne plus rond. |
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flint Super héros Toxic
Inscrit le: 13 Mar 2007 Messages: 7606 Localisation: cusset-plage
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Posté le: Lun Juin 20, 2011 10:21 am Sujet du message: |
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merde, j'ai fait une faute... merde, j'ai fait une faute... merde, j'ai fait une faute... |
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Camif 99 % irradié
Inscrit le: 16 Mai 2008 Messages: 1560 Localisation: Délocalisation
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Posté le: Lun Juin 20, 2011 2:03 pm Sujet du message: |
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Le jeu de mot est presque aussi magnifique que la personne décrite _________________ "Du 2 au 22 mai, y avait pas loin" Mallox |
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