[M] [Dvd] Perdues dans New-York

[flint]

Perdues dans New-York – LCJ Editions

Région : Zone 2 PAL

Editeur : LCJ Editions
Pays : France

Sortie film : 1989 (vidéo)
Sortie dvd : 22 octobre 2011

Durée : 52 mn
Image : 1.66 :1
Audio : dolby digital 2.0 :

Langue : français
Sous-titres : non

Bonus :
- Bandes-annonces de « Requiem pour un vampire », « Le frisson des vampires », « La morte vivante », « Fascination » et « La nuit des traquées » (16’35)
- Galerie d’affiches
- Biographie/Filmographie sélective de Jean Rollin
- Interview de Jean Rollin, « Dans les yeux de Jean Rollin » (15’02)



Commentaire : Pas de miracle à attendre de LCJ qui lutte avec René Château pour le titre de l’éditeur le plus pourri dans le domaine du dvd.
Au programme de ce nouvel opus à rajouter dans la collection Jean Rollin :
- Des menus laids et quasi illisibles
- Un format comme toujours erroné mentionné au dos de la jaquette (le film est en 1.66 :1 et non 1.33)
- Un master quelconque ; bien que tout à fait regardable (et satisfaisant au niveau des contrastes), on relève pas mal de griffures, scories et poussières tout au long du métrage.
- Des bonus inchangés depuis que LCJ édite les films de Jean Rollin (soit une dizaine d’années)
- Un visuel de jaquette pas si mal (on se console comme on peut).



« Perdues dans New-York » existait déjà en dvd, chez Redemption (« Lost in New-York », 2007), Djaz-Dpm (Belgique) ainsi qu’en Espagne (sous le titre « Perdidas en New-York). Le dvd de Redemption présentait des défauts identiques à celui de LCJ au niveau du master, et il est fort possible que ce soit la même chose pour les éditions belges et espagnoles (ce qui signifierait que l’œuvre n’a jamais été restaurée). Cela dit, le dvd de Redemption avait le mérite de proposer en bonus deux courts métrages du cinéaste (« Les amours jaunes » et « Les pays loin »). Ce qui n’est pas le cas de LCJ. A force de nous servir toujours la même soupe, celle-ci finit par manquer de saveur. Le seul mérite de cet éditeur est d’avoir commercialisé dix sept films de Jean Rollin, ce que personne d’autre n’aurait fait en France. Remercions-le pour cela.
Après, si les fans du cinéaste veulent des éditions soignées, il faut se tourner vers l’étranger.

Note : 5/10