[Fast] Dans les profondeurs du triangle des bermudes - 1978

 
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mallox
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MessagePosté le: Mer Déc 06, 2017 4:51 am    Sujet du message: [Fast] Dans les profondeurs du triangle des bermudes - 1978 Répondre en citant



Dans les profondeurs du triangle des bermudes - 1978
(The Bermuda Depth)

Origine : États-Unis
Genre : Fantastique / Fantasy / Kaijū Ricain

Réalisé par Tsugunobu Kotani (Tom Kotani)
Avec Leigh McCloskey, Carl Weathers, Connie Sellecca, Burl Ives, Ruth Attaway, Julie Woodson...

Autre titre : La légende des profondeurs (VHS édition Scherzo)






Magnus et Jennie, deux enfants, jouent sur une plage d'une île des Bermudes. Ils découvrent une tortue naissante et l'adoptent comme mascotte. Un jour, la tortue devenue grande disparaît dans les flots emportant avec elle la fillette, que tous, dès lors tiennent pour noyée. Un peu plus tard, la maison du jeune garçon est détruite. Cette catastrophe provoque la mort de ses parents. Le jeune garçon quitte l'île.
Plusieurs années passent, le garçon, devenu jeune homme, revient. Il est accompagné de deux scientifiques, bien décidés à élucider tous ces mystères...






Seulement, se frotter au pragmatisme scientifique lorsqu'on prétend avoir vu et suivi sous l'eau Jennie Haniver transformée le temps passant en sorte de sirène, c'est risquer de passer pour, au pire, un fou, au mieux, un imbécile. A fortiori avec les vieux briscards dirigeants le bateau et la "petite" opération mystère. Carl Weathers vient d'avoir chaud aux fesses en affrontant Rocky, il ne faut donc pas trop le chauffer. Quant au vieux Burl Ives, il n'y a que se rappeler ses rôles dans "La chevauchée des bannis" ou "Les grands espaces" pour savoir qu'il n'est commode, mais alors pas du tout ! Bon, dans The Bermuda Depth (où personne ne porte de bermuda à pattes d'eph - hu hu !), il joue plutôt les vieux sages, fort son expérience et a du reste tant tendance à picoler qu'il s'endort en pleine discussion.

Si The Bermuda Depth laisse augurer le pire durant son prologue et le quart d'heure qui s'ensuit, façon "Lagon bleu", pour les Monstres et les mystères, c'est dans notre cul ! Tout du moins durant une grande partie du film...




On nage ici plutôt dans les eaux troubles de la fantasy, de l'onirisme et de l'amour fou au-delà de la mort.

Jennie Haniver est-elle un rêve merveilleux éveillé ou une fantastique illusion ? Faut voir cette petite chose pour s'en assurer par soi-même.





Dans les profondeurs du triangle des bermudes c'est aussi l'occasion de croiser une actrice rare, à la filmographie plutôt maigrichonne mais pourtant pas inintéressante : Ruth Attaway (ici en sorte de prêtresse annonciatrice). Un nom qui a attiré mon attention car venant juste de découvrir le très joli "Conrack" de Martin Ritt, avec John Voight en jeune enseignant de la communauté noire de la Californie du Sud qui se heurte aux traditions. Habituée aux tous petits rôles, on l'a aussi vue dans Les pirates du métro.



Quant aux duo d'acteurs amoureux perdus dans un triangle sans bigamie ni échangisme : Leigh McCloskey est un acteur assez fadasse dont le principal moment de gloire est d'avoir été vedette de l'excellent Inferno de Dario Argento. Connie Selleca, oui, bon, elle peut à la rigueur assouvir les fantasmes des 12/13 ans ou des gays en devenir grâce à sa beauté lisse quasi mathématique proche de la poupée aussi fadasse qu'une craie, hormis ça, niveau charme : zéro ! Et je ne dirai rien sur ses répliques à se faire recroqueviller la bite telle une tête de tortue apeurée dans sa carapace : "C'est vraiment merveilleux de se baigner la nuit" dit-elle, le regard vague mais lointain, dans un élan de réflexion profonde. Quant à leurs rencontres régulières gavées de bisous, elles font clairement chier les couilles et c'est peut dire que la magie de Mickey n'opère pas.



Niveau sensualité, ne nous voilons ni la face ni la tablette de chocolat, c'est Carl Weathers en Appolo(n) de service qui assure le spectacle.






Quant au monstre évoqué en début de review, tout droit sorti d'un Kaijū d'Ishiro Honda et de la série des Gamera, il attaque même un hélicoptère dans un final plein de remous, tempétueux même.






Pour ceux qui veulent absolument une sentence, disons que ces "profondeurs du triangle des bermudes" recèlent des choses très inégales. Parfois ça flotte, parfois c'est pas loin de couler à pic, d'autres fois encore c'est plutôt mignon et assez excitant. (J'ai éjaculé 3 fois dont deux sur Carl et son gros lance-roquettes).








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Dernière édition par mallox le Mer Mar 21, 2018 5:30 am; édité 1 fois
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sigtuna
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MessagePosté le: Mer Déc 06, 2017 7:17 am    Sujet du message: Répondre en citant



Un film crypto gay donc
Sans déconner... le tee shirt de Weather avec nombril apparent
Du coup je me demande si les rockys... suspect new_diable
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sigtuna
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MessagePosté le: Mer Déc 06, 2017 7:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

Et d’après imdb et wikipedauque c'est bien une coproduction japonaise (comme son réalisateur et ses "effets spéciaux") donc on peut bien parler de Kaiju.

Et sinon pour vous effacer de la rétine l'image du nombril d'apollo, celle de Connie Selleca (avec laquelle notre gillox est un brin injuste) et de Julie Woodson (qui n'est pratiquement connu que pour avoir été playmate) :




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mallox
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MessagePosté le: Mer Déc 06, 2017 3:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Sigtuna a écrit:
Connie Selleca (avec laquelle notre gillox est un brin injuste)


Ah non mais moi j'attache beaucoup d'importance à la beauté intérieure.
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