Carrousel Funeste |
Écrit par Stegg |
En Mars, les éditions Midgard vous propose de découvrir un roman d'urban fantasy se déroulant à Paris.
Il s'agit du premier roman de Fenriss qui jouera également avec des figures parisiennes comme Vidocq ou Gavroche. Une soirée de lancement aura lieu au "Dernier bar avant la fin du monde" (19, avenue Victoria, 75001 Paris) le 18 mars à partir de 19 H.
Paris, de nos jours. Tandis que l'automne fauche ses dernières feuilles, plusieurs destins, apparemment sans liens entre eux, vont pourtant s'entremêler au travers d'une terrible affaire de meurtre de masse. C'est le cas de deux amis accidentellement impliqués dans le massacre, Samuel et Richard, ainsi que du commissaire Franco et de son ami l'inspecteur Markez, deux vieux routards de la Criminelle en charge de l'enquête et complètement dépassés par les évènements. Mais l'affaire affectera également la jeune et rebelle Esperanza, poursuivie pour une raison qu'elle ignore elle-même, sans parler du baron Lupin, le seul d'entre tous qui soit conscient qu'un plan machiavélique est à l'oeuvre et qu'il met en danger le monde Ordinaire tout autant que celui de l'Agartha, un monde proche du notre perdu entre rêve et imaginaire. Alors que le carrousel funeste se met en branle, qui survivra à la terrible morsure de l'hiver approchant ? Né en Picardie en 1979, Fenriss s'intéresse très tôt aux mondes de l'imaginaire. Passionné de littérature, et surtout de bande dessinée et de cinéma, il devient intermittent du spectacle pour la télévision après des études dans l'audiovisuel. Co-scénariste du long-métrage associatif "Les seigneurs d'outre monde", il a également écrit le recueil de nouvelles "La geste d'Ellowan" servant d'introduction au film. Il travaille actuellement sur la trilogie "La marque d'Ysengrin" dont "Carrousel Funeste" est le premier opus. Un premier roman en forme de déclaration d'amour à la ville de Paris dans laquelle il vit depuis plus d'une dizaine d'années, mais également à la culture populaire française, de Louis Feuillade à Jean-Pierre Jeunet
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