"Une protubérance mobile progresse vers sa gorge soulevant la peau frêle de l'enfant comme une houle surgie du plus profond de ses entrailles, puis la chose s'enfonce dans la tête pour la dévorer de l'intérieur. Les petits yeux jadis coquins sont gobés et comme aspirés par la créature... Ca fait drôle, un bébé avec des orbites vides. On dirait une poupée aux yeux arrachés." Peter Stone est responsable d'une agence de voyage, c'est un homme à qui tout réussi, une femme, des enfants, beaucoup d'argents, une voiture de sport... bref le parfait business man, en fait mis à part une maîtresse il ne manque pas grand chose pour compléter le tableau. L'erreur va vite être réparée car notre fringant homme d'affaire doit trouver une nouvelle secrétaire... Roszina Janosi, l'heureuse élue, est une fille vraiment étrange mais tellement excitante que leur relation deviendra bien vite torride et que l'auteur, Bill Garnett, n'hésitera pas à décrire des scènes de sexe digne du plus sulfureux des Arlenquin. Nous voilà bien dans la collection gore, vous êtes donc convié dans ce 29ème numéro à un mélange de sexe et de sang, le livre est composé de deux parties la premières : "La Conception" se resume à la description des personnages : Peter et sa femme d'un coté, de l'autre Roszina et sa mère (une masse difforme ayant énormément souffert dans sa vie et n'ayant plus que sa fille), puis vient l'adultère, la passion torride, le rejet de la maîtresse et enfin son suicide... et de ce suicide la vieille Janosi fera naître un monstre, c'est à ce moment là que le roman passe dans sa deuxième partie : "La Consommation"... A partir de ce moment là , l'amateur de chaire fraîche sera plus que ravi, la bête n'aura de cesse que de grandir en absorbant les vivants dans le but d'accomplir une vengeance... la scène du bébé (voir l'extrait du quatrième de couverture) est un morbide exemple de ce que le lecteur subira ! The Crone (titre de la version originale) est donc un bon exemple de ce que fut cette collection, l'auteur n'est pas avare de détails et son style est plutôt bon, à recommander chaudement. Note : 7/10gregore
"Une protubérance mobile progresse vers sa gorge soulevant la peau frêle de l'enfant comme une houle surgie du plus profond de ses entrailles, puis la chose s'enfonce dans la tête pour la dévorer de l'intérieur. Les petits yeux jadis coquins sont gobés et comme aspirés par la créature... Ca fait drôle, un bébé avec des orbites vides. On dirait une poupée aux yeux arrachés." Peter Stone est responsable d'une agence de voyage, c'est un homme à qui tout réussi, une femme, des enfants, beaucoup d'argents, une voiture de sport... bref le parfait business man, en fait mis à part une maîtresse il ne manque pas grand chose pour compléter le tableau. L'erreur va vite être réparée car notre fringant homme d'affaire doit trouver une nouvelle secrétaire... Roszina Janosi, l'heureuse élue, est une fille vraiment étrange mais tellement excitante que leur relation deviendra bien vite torride et que l'auteur, Bill Garnett, n'hésitera pas à décrire des scènes de sexe digne du plus sulfureux des Arlenquin. Nous voilà bien dans la collection gore, vous êtes donc convié dans ce 29ème numéro à un mélange de sexe et de sang, le livre est composé de deux parties la premières : "La Conception" se resume à la description des personnages : Peter et sa femme d'un coté, de l'autre Roszina et sa mère (une masse difforme ayant énormément souffert dans sa vie et n'ayant plus que sa fille), puis vient l'adultère, la passion torride, le rejet de la maîtresse et enfin son suicide... et de ce suicide la vieille Janosi fera naître un monstre, c'est à ce moment là que le roman passe dans sa deuxième partie : "La Consommation"... A partir de ce moment là , l'amateur de chaire fraîche sera plus que ravi, la bête n'aura de cesse que de grandir en absorbant les vivants dans le but d'accomplir une vengeance... la scène du bébé (voir l'extrait du quatrième de couverture) est un morbide exemple de ce que le lecteur subira ! The Crone (titre de la version originale) est donc un bon exemple de ce que fut cette collection, l'auteur n'est pas avare de détails et son style est plutôt bon, à recommander chaudement. Note : 7/10
gregore