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Frédéric Lansac, cinéaste sous X, par Christian Valor

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  Après l'excellent Claude Mulot : cinéaste écorché, écrit par Philippe Chouvel, c'est au tour de Christian Valor de se pencher sur la carrière de Claude Mulot en abordant, cette fois-ci, le pendant érotique de sa carrière.        

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Frédéric Lansac, cinéaste sous X, par Christian Valor
Écrit par Bastien   

 

Après l'excellent Claude Mulot : cinéaste écorché, écrit par Philippe Chouvel, c'est au tour de Christian Valor de se pencher sur la carrière de Claude Mulot en abordant, cette fois-ci, le pendant érotique de sa carrière.

 

 

 

 

 

Description :

 

Entre deux des films les plus célèbres et les plus brillants du cinéma érotique français : Le Sexe qui parle (1975) et La Femme-objet (1981), « Frédéric Lansac », l’alter ego érotomane de Claude Mulot, nous a offert une quinzaine de longs métrages qui démontrent ses indéniables qualités de réalisateur et de scénariste.

Pionnier du genre et perpétuel innovateur, il aura mis en scène les plus grandes vedettes de cette époque communément appelée « l’âge d’or du X » où le sexe était filmé par des artisans de talent : Brigitte Lahaie, Cathy Stewart, Karine Gambier, Sylvia Bourdon ou Marilyn Jess, sans oublier, côté masculin, Alban Ceray, Richard Allan ou Dominique Aveline. Ses œuvres recèlent, au sein d’intrigues élaborées, des commentaires tantôt drôles, tantôt amers, voire féroces, sur ses contemporains et leur sexualité, et peuvent, à ce titre, faire aujourd’hui figure de documents sociologiques.




 

Interview de Valor par Bastien :

 

Bastien : Bonjour Valor. Ton livre, Frédéric Lansac, cinéaste sous X, revient en détail sur la carrière, riche et fournie, de Claude Mulot, un réalisateur français qui a œuvré à la fois dans le cinéma bis, sous son vrai nom, mais également dans le porno sous le pseudonyme de Frédéric Lansac.
Pourtant, malgré une certaine proximité de fait avec des cinéastes tels que Jean Rollin ou Jésus Franco, Claude Mulot demeure moins connu de l’audience française. Comment expliques-tu cet état de fait ? Quelle serait la spécificité de la carrière de Claude Mulot, si tu devais la présenter à nos lecteurs ?

 

 

Valor : Un des facteurs déterminants de la notoriété moindre de Mulot tient bien entendu au fait qu’il soit mort à 44 ans ! Je pense qu'il serait bien plus connu aujourd'hui, y compris du "grand public", s'il avait pu faire d'autres films.

 

On peut effectivement trouver certains points communs entre Mulot, Jean Rollin et Jesús Franco : Rollin était un grand admirateur de Franju dont le chef d’œuvre Les Yeux sans visage inspira tout à la fois Mulot pour La Rose écorchée et Franco pour L'Horrible Dr Orloff puis plus tard pour Les Prédateurs de la nuit ! Mulot adorait le cinéma bis, et même si je n’ai trouvé aucune source où il mentionne ces deux cinéastes, je sais qu’il avait vu des films de Franco et donc probablement de Rollin aussi… On trouve d’ailleurs des ambiances très "Rolliniennes" dans La Rose écorchée… Enfin, Mulot engageait des comédiens que l'on retrouve aussi chez Franco ou Rollin, comme Howard Vernon, Jean-Loup Philippe, Anne Libert, Cathy Stewart ou encore Karine Gambier qui joua pour les trois !

 

Pour ce qui est des films X, Franco n’en a fait que très peu et, avec tout le respect que j’ai pour son œuvre, ils sont particulièrement mauvais ! Rollin, lui, détestait ses films X, il a d’ailleurs catégoriquement refusé d'aborder le sujet quand je l’ai interviewé.  Pour lui, c’était uniquement alimentaire, ces films lui permettaient de compenser les pertes financières engendrées par ses films fantastiques, il confiait d’ailleurs très souvent la réalisation à Jean-Pierre Bouyxou et fuyait dans une autre pièce !

 

Mulot non plus n’aimait pas filmer les scènes hard et c’est généralement Didier Philippe-Gérard (alias Michel Barny, son assistant et beau-frère) qui s’en chargeait mais Mulot apportait néanmoins un soin tout particulier à ses scénarios et tenait à livrer des "produits finis" de grande qualité. C’est probablement la raison pour laquelle "Frédéric Lansac" est plus connu que Claude Mulot, et, dans le genre pornographique, plus reconnu que Franco ou que Rollin.

 

 

 

 

Bastien : L’essentiel de la carrière de Claude Mulot s’est déroulé dans pendant les années 70 et 80. Une époque incroyablement prolifique pour le cinéma de genre, mais surtout érotique, où nombre de réalisateurs ont connu l’opportunité d’émerger et tourner de manière régulière.
Comment perçois-tu cette époque où la production était véritablement foisonnante ? Penses-tu que, nous, les fans de ce genre, sommes nostalgiques de cette ère ? Et si oui, pour quelles raisons, selon toi ?

 

 

Valor : Pour ce qui est du cinéma érotique, cette période correspond à "l'Age d'or" qui a suivi l'abolition de la censure par le président Giscard d'Estaing en 1975. Un souffle de liberté (mais aussi une belle opportunité financière) qui favorisera effectivement l'émergence de nombreux nouveaux talents et amènera des réalisateurs confirmés à se tourner vers le genre. On peut notamment citer Claude Bernard-Aubert, qui, après avoir réalisé L'Affaire Dominici avec Jean Gabin en 1973, se consacrera presqu'exclusivement au cinéma X avec des films comme La Maison des phantasmes par exemple. La parenthèse sera hélas de courte durée puisque moins d'un an après, le gouvernement fera machine arrière et votera une loi qui étouffera le cinéma érotique et le confinera dans un ghetto (tout en continuant à lui faire payer des taxes considérables qui financeront les films "traditionnels"). Il faut dire qu'on assistait à un véritable déferlement de films érotiques dans les salles françaises, au point que certains spectateurs se plaignaient de ne plus pouvoir voir autre chose dans leurs cinémas de quartier !

 

En tant que cinéphile, comment ne pas être nostalgique de cette ère ? Les réalisateurs et les techniciens étaient généralement des artisans de talent qui travaillaient simultanément dans des productions "classiques" (certains comédiens aussi d'ailleurs, comme Gilbert Servien ou Jacques Insermini). Les films avaient des scénarios, des dialogues bien écrits, les tournages bénéficiaient de décors, de costumes et d'éclairages élaborés. A quelques rares exceptions près, le cinéma X a disparu aujourd'hui, on peut au mieux parler d'images pornographiques à vocation purement masturbatoire, et je ne parlerai même pas de la surenchère de performances hors-norme de certaines productions, ni des actrices siliconées de la tête aux pieds !

 

 

 

 

Bastien : Claude Mulot a connu une double carrière, à la fois dans le cinéma porno, mais également dans le cinéma de genre où il proposa des films plus soignés, dans la forme, voire supérieurs, techniquement, que les autres productions de la même époque. Quelle est ta perception de son cinéma ? Sais-tu quelles étaient les motivations ou les envies qui l’animaient ? Pourrait-on, soyons audacieux, parler de fulgurances d’un auteur en devenir pour ses films ?

 

 

Valor : Didier Philippe-Gérard m'a dit : "Claude était fou de cinéma, il y allait deux fois par jour, il dévorait tout, c’était sa passion, tous les genres, avec une prédilection pour le bis qui arrivait en France à l’époque... Mais cela ne l’empêchait pas d’être également raide dingue de La Traversée de Paris et de citer Aurenche et Bost dans le texte en permanence ! C’est Claude qui m’a fait aimer Gabin. Il aurait préféré qu’on se souvienne de lui pour La Rose écorchée ou La Saignée plutôt que pour Le Sexe qui parle." Même si ses premiers films étaient plus ou moins érotiques, Mulot n'a jamais vraiment voulu faire du porno. Comme tant d'autres réalisateurs, il y est venu car cela lui permettait de rembourser les pertes de ses autres films et de gagner de quoi monter d'autres productions qui lui tenaient à cœur. Claude Mulot semblait tout particulièrement soucieux de ne pas être associé au hardcore, peut-être afin de conserver ses chances de travailler pour de grosses compagnies "respectables", d'où l'utilisation d'un pseudonyme. Il est même allé jusqu'à faire créditer Francis Leroi comme réalisateur de Le Sexe qui parle au CNC...

 

A sa mort, en 1986, il venait de renoncer à faire des films X, il avait de nombreux projets, dont Vidéomaniac, un slasher/giallo inspiré de Le Voyeur de Powell qu’il n’arrivait pas à faire produire… Selon Didier Philippe Gérard, il se serait très certainement tourné vers la comédie : des comédies dans l’esprit de celles de son ami Georges Lautner pour lequel il avait travaillé, notamment sur Ils sont fous ces sorciers en 1978, ou peut-être un film fantastique ou d’horreur, genres qu’il aimait profondément.

 

 

 

 

Bastien : Certains de ses films érotiques, Le Sexe qui parle et La Femme objet étaient considérés, et cela même presque dès leurs sorties, comme des classiques instantanés. Comment expliques-tu cet état de fait ? A ton avis, serait-ce parce que Claude Mulot avait apporté des éléments significatifs ou particuliers dans ces films qui leur permirent de s’élever à un niveau supérieur des productions érotiques de la même époque ?

 

 

Valor : Comme je l'ai dit plus haut, Mulot ne bâclait jamais ses films, comme d'autres (ne citons personne) auraient pu le faire. Il s'entourait des meilleurs techniciens, comme François About, Roger Fellous ou Jean-Jacques Renon à la photo, Gérard Kikoïne au montage. Gérard, que j'ai longuement interrogé, se souvient encore du nombre de fois où Mulot lui a demandé de refaire une séquence ou quand il refusait poliment ses suggestions avec un : "Gérard, quand tu feras ton film..."

 

Mulot était aussi un très bon scénariste et il apportait un soin tout particulier à ses histoires, même pour les films X. La spécificité de son cinéma tient, je crois, au fait qu'il avait des messages à faire passer. Certes, d'autres l'ont fait aussi, et certains, comme Bénazéraf, de façon plus radicale, d'ailleurs. On ne peut pas dire non plus que Mulot ait fait des pamphlets politiques mais il se débrouillait toujours pour placer, souvent avec humour, des commentaires sur ses contemporains. Il fustige ainsi régulièrement l'hypocrisie humaine, en particulier dans les milieux bien-pensants où l'on se permet de faire la morale aux autres, il évoque souvent les combats féministes de l'époque (même si sa position reste parfois ambiguë) en présentant des femmes fortes exploitées et des hommes lâches et tyranniques. L'un de ses films les plus représentatifs à ce titre est Shocking!, un des meilleurs films X jamais réalisés, d'après moi. C'est un film d'une noirceur absolue dans lequel on retrouve les thèmes de la bassesse et de la misère humaine sur fond d'apocalypse nucléaire et qui se termine par l'anéantissement de l'Humanité ! On peut aussi évoquer sa collaboration au scénario de Mes nuits avec… Alice, Pénélope, Arnold, Maud et Richard, film réalisé par Didier Philippe-Gérard qui devait s'appeler La Grande baise. Un film tout aussi pessimiste que Shocking, dans lequel les protagonistes, à l'instar de ceux de La Grande bouffe mettent fin à leurs jours par excès de sexe plutôt que de nourriture ! On a du mal à imaginer aujourd'hui que des films X aient pu avoir de tels scénarios... et on se demande aussi quelles furent les réactions des spectateurs !

 

 

 

 

Bastien : Dans ton ouvrage, Frédéric Lansac, cinéaste sous X, tu as méticuleusement recoupé moult témoignages de proches, de techniciens, d’acteurs qui ont travaillé avec lui. Comment était perçu l’homme par ceux qui ont collaboré avec lui ? Quelle appréciation se distingue de son cinéma, par ces mêmes personnes ?

 

 

Valor : Pour reprendre l’expression de Didier Philippe-Gérard : "Claude était hyper séduisant, mais ce n’était pas du tout un "séducteur". C’était un mec qui avait une aura, du charme et qui ne faisait rien pour ça… Il était tellement cool, tellement intéressant, tellement agréable que beaucoup de gens l’adoraient : Carlos, Johnny, Sylvie, Eddie Vartan, Sardou…" Johnny Hallyday était effectivement l'un de ses meilleurs amis. C’est Mulot qui a réalisé le clip d'inspiration "post apocalyptique" Le Survivant qui fut projeté lors de sa série de concerts au Palais des sports en 1982 et Johnny fait une rapide apparition dans la comédie Le Jour se lève et les conneries commencent (1981). Son album Gang sorti le 6 décembre 1986 est d’ailleurs dédié à Claude Mulot.

 

 

Je n’ai recueilli que des louanges, aussi bien humainement que professionnellement de la part de tous ceux qui l’ont connu : Alban Ceray, Richard Lemieuvre (alias Richard Allan), Gérard Kikoïne et, bien entendu Didier Philippe-Gérard et Marilyn Jess, compagne de ce dernier et donc belle-sœur de Claude Mulot. La seule personne qui m’a dit qu’il n’aimait pas Mulot est Jean-Loup Philippe, rôle principal dans Le Sexe qui parle en 1975, qu’il interpréta juste après avoir joué dans Lèvres de sang de Jean Rollin qu’il avait co-écrit avec lui. Ce n’est guère étonnant dans la mesure où les deux viennent d’univers très différents (même si pas forcément incompatibles) : Jean-Loup Philippe est pétri de culture, de littérature, de théâtre alors que Mulot était un "bon vivant" qui préférait les fêtes avec ses copains et les excès en tous genres.

 

 

Si Brigitte Lahaie lui reconnaît de grandes qualités artistiques, notamment pour son humour et les messages qu’il voulait faire passer dans ses films, elle est en revanche plus mitigée sur l’homme et son opinion est assez fluctuante. Elle a ainsi parfois déclaré qu’il était assez misogyne, d’autres fois qu’il ne l’était pas vraiment mais qu’il avait peur des femmes et donc qu’il "sadisait" un peu ses actrices mais lorsque je l’ai interrogée, elle m’a dit : "Non, je n'irai jusqu'à dire qu'il était sadique !" Pour finir, elle a récemment raconté qu’il lui avait très méchamment déclaré qu’elle était mauvaise et qu’il valait mieux la doubler, avant de conclure : "Il était con, de toute façon" ! Il faut savoir qu’elle lui en a longtemps voulu à cause d’une petite affaire après le tournage du film Les Petites écolières : elle avait renoncé à faire des films X quand Mulot lui a proposé le rôle. Pour la convaincre, il lui avait promis de l’engager dans son prochain film "traditionnel"… mais il ne l'a pas fait ! Elle finira par obtenir un rôle dans Le Couteau sous la gorge, près de 6 ans plus tard (grâce à René Chateau, selon elle), mais le rôle ne lui plaisait pas vraiment !

 

 

Du côté des critiques de cinéma, c’est surtout Le Sexe qui parle qui reçut des éloges de la part de personnalités aussi inattendues que Philippe Bouvard dans France-Soir ou Louis Chauvet du Figaro, mais aussi de l’écrivain Eugène Ionesco et même du président de l’Assemblée nationale Edgar Faure ! Il connaîtra une large distribution internationale, notamment au Royaume-Uni, au Japon ainsi qu'aux USA où il remplacera Gorge profonde à l'affiche du World Theater de la 42ème rue de New York. La Femme-objet aussi recevra un très bon accueil critique, en France comme à l’étranger. Il remportera d’ailleurs l'AVN Award du Meilleur Film étranger à Las Vegas en 1986 et fera de Marilyn Jess une vedette internationale.

 

 

La Rose écorchée connut un meilleur accueil à l'étranger (notamment aux USA et en Allemagne) qu'en France. Quant à La Saignée, c'est Henry Chapier (futur rédacteur en chef sur Soir 3 et animateur de l'émission Le Divan), qui s'en fera le plus ardent défenseur dans le quotidien Combat-Le Journal de Paris. Il parlera d'une "explosion de talent" et comparera le talent de Claude Mulot à celui d’un Jean Cocteau, Georges Sadoul ou André Bazin : "Dans ce film policier aux allures de tragédie grecque, Claude Mulot a donné le meilleur de lui-même, avec son cœur, et faisant preuve d’inspiration. (...) Autrefois, Claude Mulot aurait eu le Prix Delluc, ou les palmes de Cannes. Il mérite au moins de faire salle comble, pour nous prouver que le cinéma n’est pas mort."

 

 

 

 

* Retrouvez l’univers de Claude Lansac, avec beaucoup plus de contenu et d’informations, dans le livre Nitrate 7 : Frédéric Lansac, cinéaste sous X, écrit par Christian Valor, actuellement disponible pour 15 € + port sur le site de l’éditeur Le Chat qui fume :

 

https://www.lechatquifume.com/products/nitrate-07-federic-lansac-cineaste-sous-x

 

ou sur le Pulse Store :

 

https://pulsestore.net/produit/frederic-lansac-cineaste-sous-x/

 

 

 

 

* Claude Mulot sur Psychovision :

 

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